Bellefleur

Traduit de l'ANGLAIS (ETATS-UNIS) par ANNE RABINOVITCH

À propos

Au cours du XIXe siècle, dans la région de Chautauqua, près du lac Noir, six générations de la famille Bellefleur habitent une grande demeure. Inscrit dans la tradition du roman gothique, Bellefleur fait la part belle au merveilleux et rejoint le réalisme magique d'un Garcia Marquez.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Joyce Carol Oates

  • Traducteur

    ANNE RABINOVITCH

  • Éditeur

    Le Livre de Poche

  • Distributeur

    Hachette

  • Date de parution

    11/01/2012

  • EAN

    9782253163008

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    980 Pages

  • Longueur

    17.8 cm

  • Largeur

    11 cm

  • Épaisseur

    4.3 cm

  • Poids

    480 g

  • Diffuseur

    Hachette Diffusion

  • Support principal

    Grand format

Joyce Carol Oates

Joyce Carol Oates est née en 1938 à l'ouest du lac Erié. Son enfance est placée sous l'étoile de la solitude : un père travailleur, souvent absent et une soeur autiste l'incitent à grandir vite. Elle déménage pour Détroit dans
les années 1960, où elle découvre la réalité de la violence à travers les conflits sociaux et raciaux. Devenue professeur de littérature à l'université de Princeton, elle poursuit la plus prolifique des carrières
littéraires (une trentaine de romans mais aussi des essais, des nouvelles, des pièces de théâtre, de la poésie). Oates a aussi écrit plusieurs romans policiers sous le pseudonyme de Rosamond Smith ainsi que sous le nom de Lauren Kelly.
Trois de ses romans ont été sélectionnés comme finalistes au prix Pulitzer. En 1970, elle a reçu le prix du National Book pour son roman Eux. En 1992, son livre Reflets en eaux troubles est à son tour sélectionné pour
le prix Pulitzer, et Les chutes, publié en 2005, a récompensé le prix Femina. Elle est membre de l'Académie Américaine et de l'institut des Arts et Lettres.Elle est mariée, continue d'enseigner à Princeton où elle vit avec son époux qui dirige une revue littéraire, la Ontario Review.

empty