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Almasta
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"Cent vingt lettres, autant de graines de sagesse, écrites par Osho à une disciple bien-aimée, Ma Anandmayee.
Moi aussi, je suis un jardinier.
J'ai semé quelques graines, elles ont germé... et maintenant, elles ont fleuri.
Ma vie tout entière est remplie du parfum de ces fleurs. Ce parfum m'a donné une nouvelle naissance.Tout ce que j'ai, tout ce que je suis, je veux le répandre comme des graines de sagesse, de conscience divine.
Ce qui est atteint par la connaissance, l'amour le distribue en abondance.
Tout le monde peut atteindre la libération, comme toute graine peut devenir une plante.
Les vents emportent loin de moi les graines d'une révolution intérieure. Ayant semé la graine, je m'en vais."
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Consciemment ou non, chacun craint l'intimité. La racine latine du mot intimité est intimum, elle signifie intériorité, le coeur le plus intime. Etre intime signifie s'exposer devant un étranger, laisser tomber toutes ses défenses. Vous cachez tous mille et une chose, Non seulement aux autres, mais à vous-mêmes également. L'intimité est un besoin essentiel. Tout le monde en a envie et tout le monde en a peur. Si vous prenez conscience de cette peur, si vous regardez en vous et vous mettez à accepter votre nature non pas telle qu'elle devrait être, mais telle qu'elle est, vos défenses tombent, cette peur disparaît. Les portes du coeur s'ouvrent, vous êtes libres d'entrer, d'inviter quelqu'un au plus profond de votre être. Vous contactez sa beauté, vous devenez intimes. Et vous serez surpris : Dieu est beauté. C'est une grande révélation, une révolution.
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Contemplation du matin, avec son compagnon Contemplation du soir, réunit des extraits des discours d'Osho à ses disciples et à des chercheurs.
Le lecteur y trouvera la vision d'Osho sur une variété de sujets incluant la nature de la félicité, l'amour, la divinité et laméditation.
Les passages ont été choisis pour être lus chronologiquement plutôt qu'au hasard, ainsi la compréhension qu'Osho a de la vie se développe à travers chaque chapitre.
Les livres ont été planifiés en sorte que chaque jour ait un thème particulier et que les sujets du matin et du soir se complètent mutuellement.
Ce livre, avec des passages choisis spécialement pour lematin, est d'une grande valeur, aussi bien pour ceux qui sont déjà familiers avec la méditation que pour le nouveau venu au monde intérieur.
Les deux livres peuvent être lus séparément ou ensemble.
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Osho commente ici dix histoires symboliques de Chuang-tzu, grand maître du Tao. Chuang-tzu est un homme ordinaire, il ne proclame rien, il jouit simplement du fait d'être ordinaire. Voilà ce que signifie pêcher dans la rivière Pu. Un homme de Tao reste absolument ordinaire. Personne ne sait qui il est, quel trésor il recèle à l'intérieur. La rivière avance toute seule, vous n'avez pas besoin de la pousser. Pourquoi se faire du souci ? Si le Tao prend soin de la pierre, de la rivière, de l'arbre, pourquoi douter que la vie prendra soin de vous ? La vie est insécurité et si vous pouvez vivre dans l'insécurité, c'est la seule sécurité possible. Celui qui peut vivre dans l'insécurité est heureux, sa sécurité est celle du Tao, de la nature ultime. Les poissons naissent dans l'eau, l'homme naît dans le Tao. L'eau prend soin des poissons, le Tao prend soin de vous. Vous êtes les poissons du Tao, de la nature. Juste être ordinaire, pêcher avec une canne de bambou, Chuang-tzu dit que c'est cela l'illumination.
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Contemplation du soir, avec son compagnon Contemplation dumatin, réunit des extraits des discours d'Osho à ses disciples et à des chercheurs.
Le lecteur y trouvera la vision d'Osho sur une variété de sujets incluant la nature de la félicité, l'amour, la divinité et laméditation.
Les passages ont été choisis pour être lus chronologiquement plutôt qu'au hasard, ainsi la compréhension qu'Osho a de la vie se développe à travers chaque chapitre.
Les livres ont été planifiés en sorte que chaque jour ait un thème particulier et que les sujets du matin et du soir se complètent mutuellement.
Ce livre, avec des passages choisis spécialement pour le soir, est d'une grande valeur, aussi bien pour ceux qui sont déjà familiers avec la méditation que pour le nouveau venu au monde intérieur.
Les deux livres peuvent être lus séparément ou ensemble.
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La vague et l'océan ; vous n'êtes pas la vague, vous êtes l'océan
Osho
- Almasta
- 22 Janvier 2013
- 9782940095322
Osho, Je vous ai entendu parler.
Votre langage a un charme hypnotique et il est très clair.
Continuellement, vous critiquez etmettez en pièces les anciennes croyances et écritures religieuses. Quel est votre but ?
Voulez-vous établir votre propre religion ? Voulez-vous rendre tout lemonde confus ?
Vous parlez et expliquez avec des mots,mais vous affirmez aussi qu'on n'arrive nulle part en s'accrochant auxmots.
Vous nous dîtes : « Neme croyez pas et ne vous accrochez pas àmoi, sinon vous commettrez lamême erreur. » Vous dîtes aussi que cette négation elle-même est une invitation. Pourriez-vous expliquer qui vous êtes, ce que vous souhaitez dire et faire ?
Quelle est votre intention ?
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Dans ce livre, Osho commente dix histoires de maîtres soufis.
Un maître soufi avait coutume de dire à ses disciples :
Faites simplement confiance, les pétales ne tombent-ils pas sur le sol en tourbillonnant, juste comme ça ?
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Conte soufimerveilleusement illustré,Mojud, l'homme à la vie inexplicable est ici commenté par Osho : « Ecoutez donc cette histoire.
Elle peut ouvrir une porte, elle peut amener dans votre vie un changement si radical que vous ne pourrez plus jamais être lemême.elle relève de la recherche la plus intime de la vérité, elle relève du centre de votre être. »
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Le mot méditation est beau, car il a la même racine que le mot médecine.
La médecine soigne le physique et la méditation soigne le spirituel. Les deux sont des pouvoirs de guérison. La médecine dépend de la matière, de ses composés chimiques. La méditation dépend de la conscience. Elle n'a pas de pastilles à sa disposition. Même libéré de toutes les maladies du corps, souvenez-vous que l'homme n'en devient pas libre de la maladie fondamentale : celle d'être un homme. Cette maladie-là est un désir de l'impossible.
Cette maladie-là, rien ne peut la satisfaire. Elle rend futile tout ce que l'on obtient et donne de l'importance à ce que l'on n'a pas. Le traitement de cette maladie, c'est la méditation le jour où les hôpitaux considéreront l'homme comme un tout, dans sa totalité et où ils le traiteront en tant que tel, ce jour-là sera un jour de réjouissance pour l'humanité.
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