Grand classique incontournable de la dévotion à la Très Sainte Vierge Marie. Aujourd'hui où les fausses dévotions à la Sainte Vierge pullulent, on se mettra à l'abri de toute illusion en se faisant guider par ce Saint qui fut envoyé par la Providence pour enseigner la vraie dévotion à la Mère de Dieu.
"Pour obtenir le salut éternel et toutes les grâces que nous désirons de Dieu. oeuvre théologique et ascétique de grande utilité pour toute catégorie de personnes. DIVISÉE EN DEUX PARTIES: -Dans la première Partie on traite de la nécessité, de l'efficacité et des conditions de la prière. -Dans la deuxième Partie on démontre que la grâce de la prière est donnée à tous, et on y traitera du mode d'agir ordinaire de la grâce."
Langue admirable, doctrine lumineuse, style entraînant et émouvant tout en restant rigoureux, esprit thomiste pénétré des Pères et de l'Ecriture, voilà un ouvrage qui remet les pendules à l'heure sur ce que sont réellement la souveraineté de Dieu s'imposant à tous les hommes, l'autorité, la (vraie) monarchie, la royauté, le bien commun, l'infaillibilité du Magistère ordinaire du pape. L'auteur est un homme de foi et de méditation, en particulier sur la Passion et le Calvaire, et qui sait nous faire toucher de manière saisissante l'immensité de l'amour du Sacré Coeur pour les pauvres choses que nous sommes. C'est une lecture sanctifiante.
Il y a une manière de penser et d'écrire propre à Chesterton et inimitable, qui mériterait un qualificatif à part et parfaitement reconnaissable : une profondeur si naturelle qu'elle est légère sous la plume, un mordant sans équivoque mais toujours charitable ; surtout un sens aigu du mal, de la fausseté, du mensonge, de l'hérésie, de tout ce qui fait le tartuffe. Avec cela toute les vertus que le français populaire ou savant a retiré du latin ferum ; fier, féroce et farouche, c'est la même chose.
Traduit de l'anglais par Richard Viot, ce roman historique passionnant est digne des plus grandes éloges. Il retrace la vie d'une jeune et noble païenne romaine au début du quatrième siècle. Comment réagira-t-elle en découvrant que nombre des personnages qui l'environnent sont des chrétiens ? L'auteur décrit à merveille à travers cette émouvante histoire la vie des premiers chrétiens sous la persécution romaine.
"La porte s'ouvrit et Françoise regarda : elle vit un abîme si profond, si épouvantable, d'où s'échappaient des cris si affreux et des odeurs si insupportables, que depuis elle n'en pouvait parler sans que son sang se glaçât dans ses veines. L'enfer lui apparut divisé en trois régions, l'une supérieure, l'autre inférieure, l'autre intermédiaire. Les tourments étaient plus graves dans la région inférieure que dans les deux autres. Dans la région supérieure sont placés les Juifs qui, à leur opiniâtreté près, vécurent exempts de grands crimes ; ceux des chrétiens qui négligèrent la confession pendant la vie et en furent pri-vés à la mort."
"Votre livre, La mission divine de la France n'est, suivant votre propre expression, qu'une ébauche. Comment épuiser en un court volume les immenses miséricordes et la complaisance de Dieu pour Son peuple ? En nous annonçant une oeuvre puissante, cette étude nous en donne l'avant-goût. A certaines heures de notre histoire, les signes de Dieu furent éclatants, s'ils se font plus rares aujourd'hui, nous n'oublions pas cependant les apparitions célèbres du XIXè siè-cle. Elles ont été des rappels de la vocation de la France."
La médaille dite de saint Benoît est l'un des objets de piété les plus populaires du monde chrétien, presque au même titre que la médaille miraculeuse de la Rue du Bac. Elle est cependant beaucoup plus ancienne. Sa popularité date surtout du XIème siècle à la suite de la guérison miraculeuse d'un jeune homme appelé Brunon, qui se fit moine bénédictin et devint plus tard Pape sous le nom de Léon IX... Une foule d'autres bienfaits recueillis de toutes parts, et dus à cette médaille, amena le Siège Apostolique à se prononcer, ce qu'il fit en 1742 par un Bref important du Pape Benoît XIV, approuvant cette médaille et lui accordant de nombreuses indulgences.
Un livre où la jeune fille apprendrait à connaître « les traits permanents » du monde masculin, pourrait lui être de réelle utilité pour la réussite de son futur foyer. Chacun sait combien à cette réussite se trouvent liés indissolublement outre le bonheur des époux eux-mêmes, celui de leurs enfants et, de surcroît, leur fidélité conjugale et l'intégrité de leur vie chrétienne. Telles sont les raisons qui nous ont déterminés à écrire ce livre sur la psychologie des jeunes gens ; notre but est de rendre service aux jeunes filles pour leur vie d'aujourd'hui et de demain.
Depuis le 1er siècle jusqu'à nos jours, traduites des actes les plus anciens et des auteurs contemporains, complétées par un grand nombre de notes historiques. Tome I : Ier siècle du christianisme en France. Tome II : 2ème et 3ème siècle du christianisme en France. Tome III : 3ème et 4ème siècle du christianisme en France. Tome IV : 4ème et 5ème siècle du christianisme en France. Tome V : 5ème siècle du christianisme en France. Tome VI : 6ème siècle du christianisme en France. Tome VII : 6ème et 7ème siècle du christianisme en France. Tome VIII : 7ème siècle et supplément au 5ème siècle du christianisme en France. Tome IX : 8ème siècle, supplément au 6ème siècle et 9ème siècle du christianisme en France.
« Je suis la vigne, vous êtes les branches. Vous ne pouvez rien faire sans moi », dit le Maître unique, le Roi et Chef unique, le Médiateur unique. Écoutons l'abbé Barbier : -« Or, l'Église est humaine, et, par conséquent, tributaire des épreuves de l'humanité ; mais elle est divine, et, à cause de cela, plus forte dans sa faiblesse que toutes les forces du monde. L'Église est Humaine : chacun de ses membres demeure soumis aux lois de cette humanité déchue, enclin aux passions, exposé aux assauts de l'enfer, capable des plus grandes fautes, mais aussi, aidé de la grâce, faire bon usage de sa volonté.
-« Il est dit dans l'Écriture que « l'ennemi n'aura été enchaîné que pour un temps ». Blessé par le talon de la Femme, il attendait son jour. - « Il ne dépendait pourtant que de la puissance chrétienne des premiers temps et du Moyen-âge de donner le coup de grâce au peuple déchu, car il était faible alors, sans défense et à sa merci, mais elle a préféré suivre l'enseignement des Pères - tel saint Augustin - et lui faire grâce, car le peuple déchu avait pour se défendre les promesses formelles de perennité. C'était pour la théologie un précieux témoignage vivant du Christ à travers les âges. De là cette singulière charité de ces siècles où la foi régna.
- « L'ennemi est la « morale » talmudique qui a cette supériorité matérialiste sur la morale évangélique qu'elle ne brusque pas les instincts, elle ne violente pas la nature sensuelle, vaniteuse et cupide de ses fidèles sans scrupule. »