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Nataraj
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Quelque part sur un îlot de la mer de Chine, un jeune homme reçoit d'un « Vieux Sage » l'enseignement de Wu Wei, la « Voie sans effort » selon la sagesse du Tao. Par Wu Wei, qui signifie aussi « Non-agir », « Mouvement spontané », « Non-résistance », se révèle la présence de Tao en soi et en toutes choses. René Guénon tenait ce texte en haute estime : « Sous son apparence simple et sans prétentions érudites, c'est certainement une des meilleures choses qui aient été écrites en Occident sur le taoïsme. »
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Le Dhammapada (littéralement «Stances de la Doctrine») est le plus célèbre et précieux des ouvrages transmettant la parole du Bouddha. Ces 423 versets contiennent l' essence de l' enseignement du Prince devenu Sage en Inde, au VIème siècle avant Jésus-Christ. Le Bouddha enseigne le moyen de mettre fin à la souffrance par la réalisation de la vacuité du «moi» et du monde. Cette réalisation conduit naturellement au détachement, qui est la clef du nirvâna, le bonheur inaltérable. Doctrine humaniste de compassion et d' amour, le bouddhisme est surtout un chemin de délivrance spirituelle, d'Éveil à notre vraie nature : le Bouddha est en chacun.
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Traduction de trois hymnes de Shankarâcârya, le maître fondateur de l'Advaïta Vedânta en Inde au VIIIe siècle: - La méditation du matin (prâtah smaranam) - Le Bhaja Govindam. L'un des plus célèbres hymnes en Inde, chanté dans tous les foyers. - Le Nirvânashatkam, "stances sur le nirvâna".
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Tout est un (Ellâm Onru) ; texte tamoul anonyme du XIX siècle
Anonyme (Xix S.)
- Nataraj
- 13 Janvier 2005
- 9782911466144
" si tu veux la délivrance (moksha), alors écris, lis et pratique les instructions contenues dans ce petit livre, " ellâm onru " (tout est un).
" c'est râmana mahârshi, le grand sage hindou (1879-1950), qui s'adresse ainsi à son disciple, annamalai swâmi. la pratique de l'advaïta vedânta est présentée d'une manière aussi concise qu'originale dans ce texte du xixe siècle. l'auteur tamoul resté anonyme, n'est pas un érudit, ni un lettré : il transmet avec simplicité et un fort accent d'authenticité le fruit de son expérience de l'un métaphysique.
C'est l'expérience de la pure intériorisation : l'unité se trouve dans l'intériorité absolue de la conscience (pûrnâhantâ), à l'opposé de l'extériorité dispersante. srî râmana, tout en encourageant la lecture et la pratique des enseignements de ce livre, souligne la nécessité de ce retournement vers l'intérieur. " garde toujours dans le coeur le sens de la non dualité, mais ne l'exprime jamais dans l'action.
".
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« Nous nous identifions à un corps et une personnalité limités. Mais en réalité nous sommes conscience sans limite. Il suffit de le reconnaître. La réalisation de notre vraie nature est la découverte la plus extraordinaire qui soit. » Ce poème invite à cette Reconnaissance, par la réflexion et la méditation. Pour peu qu'on soit audacieux et capable de s'abandonner à la grâce, tout devient possible. Car « par la grâce de Siva, on gagne l'éternelle perfection du yoga ». L'oeuvre dont nous proposons ici une première traduction en français provient du Sud de l'Inde. Elle porte témoignage du rayonnement de la philosophie tantrique de la Reconnaissance en dehors du Cachemire. Daksinamurti est le nom de Siva « faisant face au Sud ». Attribué parfois à l'illustre Sankara, l'hymne est en réalité l'oeuvre d'un maître anonyme du Sivaïsme tantrique.