Une enquête policière menée par les commissaires Chapot et Aubin est déclenchée suite à un meurtre commis sur la servante des Bourbon de Chazeilles, une grande famille de Békés (Blancs créoles) de Guadeloupe. Le crime serait-il lié au bébé qu'a eu Nelly Bourbon de Chazeilles à l'insu de son mari ? Surviennent alors d'étranges événements. Des attentats à la bougie explosive sont perpétrés sur des personnalités connues de l'île et des morceaux de peau sont prélevés sur des morts. S'agirait-il de sorcellerie à grande échelle ?
Le vécu obsessionnel et morbide du passé peut rendre fou. Cette vérité sera révélée grâce à un poil de mangouste !
Cette histoire nous montre une Guadeloupe dans la peur et offre une fresque humaine épicée avec une description colorée de personnages authentiquement créoles.
Août 1994. Sur son lit de mort, Marcel Bouchard livre un secret à sa femmeMarguerite et à ses enfants. Il fait état d'un compte bancaire qu'il a ouvert dans les années cinquante, créditeur d'environ 200 000 francs. Divagation ou réalité ? Quelquetemps après le décès de son époux, Marguerite découvre au fond d'un tiroir un petit carnet portant le nom de la banque évoqué par Marcel. Elle décide alors de s'y rendre pour retirer son argent. Mais une fois sur place, le directeur lui indique que son compte n'existe pas. Croyant plutôt son Marcel et voulant comprendre cette affaire, Marguerite décide de s'adresser à un service de police. Commence alors une extraordinaire enquête judiciaire, pleine de rebondissements.
Lorsque Meredith se réveille sur son lit d'hôpital à Londres, elle comprend que son quotidien ne sera jamais plus comme avant. Elle n'a que son frère, Martin, à qui se raccrocher. Seul élément stable dans sa vie depuis son plus jeune âge. La nouvelle qu'il lui annonce est terrible : elle a perdu l'usage de la parole. En aidant Meredith à surmonter cette épreuve, Martin était loin d'imaginer qu'il s'attirerait de tels ennuis. La fratrie bascule alors dans un univers sans pitié où l'appât du gain justifie les moyens.
------------------------------------ Un thriller passionnant où les ennemis ne sont pas forcément ceux que l'on pense.
Cette histoire aux personnages et lieux purement fictifs retrace la vie de policiers. Ils mènent leurs enquêtes de front, croisant des gens sans scrupule, sans foi ni loi, dans un monde où l'argent et le pouvoir sont les seules préoccupations.
La vie, ce perpétuel recommencement d'événements tous aussi uniques les uns que les autres ; n'a en réalité pour effet que de nous mener vers notre épanouissement.
Alors pourquoi cette destinée, si douce au premier abord, se retrouve être l'instrument de torture des personnes qu'elle possède ?
Mél, jeune femme de vingt-neuf ans, s'aperçoit de la cruauté de la vie lorsque son existence bascule dans un cauchemar indescriptible.
Tourmentée par un individu malveillant, elle se retrouve embarquée dans un engrenage tortueux qui la submerge complètement. Qui peut bien lui en vouloir au point de l'anéantir de la sorte ?
Jazz, scandale, trafic et religion, mais aussi histoire d'amour tumultueuse sur fond de musique mod 60's s'enchaînent dans ce romenquête. En montrant un diablotin tétant goulûment le sein d'une Vierge noire, l'affiche du festival Jazz à Vienne de 2003 a provoqué l'ire des catholiques. Mais ce fait réel est à relier à une autre histoire de Vierge, celle de Notre-Dame-de-la-Salette, dans les montagnes iséroises où, hasard ou coïncidence, son apparition en 1846 avait déjà créé la polémique. Drôle de sanctuaire, en effet, que celui des Alpes iséroises où les sous-sols abritent un trafic d'eau miraculeuse détenue par de dangereux escrocs.
L'enquête menée par Elman, un jeune pigiste, est un peu lourde à porter, mais il peut compter sur l'aide inattendue du diable pour avancer.
Les inspecteurs de police, Claudia Gauthier et Gérard Lambert, sont chargés d'enquêter sur une série de cambriolages dans des bijouteries. Le maigre indice dont le couple de coéquipiers dispose étant que le principal suspect a « un regard étrange ». Afin que justice soit faite, ils mènent des interrogatoires et tentent de tendre un piège au présumé coupable. L'affaire se complexifie quand il s'avère que les braquages sont des coups montés de toutes pièces. La tension croît et l'étau se resserre autour du criminel. L'inspecteur Lambert échappe de peu à la mort, grâce au sang-froid de sa partenaire. Au rythme de dialogues enlevés, créant une atmosphère quasi-cinématographique, les deux héros ne sont pas dupes du scénario orchestré par l'habile manipulateur. Et pour clôturer ce roman policier aux airs de romance, un heureux événement se profile à l'horizon...
« Le Comte de Saint-Clair lâcha le quotidien à ses pieds. Les larmes sur son visage avaient cessé, il avait repris son sang-froid, il s'était redressé pour faire face à l'ennemi, ses traits s'étaient durcis.
Les mâchoires serrées, il se leva et se dirigea lentement vers le râtelier au-dessus de la grande cheminée où il rangeait ses armes de chasse.
Il décrocha un fusil à double canon, le cassa et le chargea avec des chevrotines, les mêmes qui lui servaient à tuer les sangliers sur son domaine... »
« L'île de la Cité, en cette fin de journée de juillet, cuisait à petit feu sous les rayons incandescents du soleil.
Les badauds encore nombreux cherchaient désespérément de l'ombre.
L'île, avec sa Sainte-Chapelle, attirait une kyrielle de touristes prêts à affronter de longues queues pour pouvoir enfin admirer ce vestige du palais de la Cité, fleuron de l'art gothique.
Après la visite du monument, les touristes se dirigeaient vers la Conciergerie, plus ancien des bâtiments de l'île que la municipalité avait récemment décrassé en surface. Ils courbaient l'échine sous les rayons brûlants qui les rôtissaient à travers leurs chemises. La température était montée à 39°C et l'asphalte commençait à fondre.
Non loin de là, au 36 quai des Orfèvres, le vieux bâtiment qui hébergeait la brigade criminelle, « la Crime » comme on l'appelait, souffrait également des mêmes maux combinés : chaleur et pollution.
En dessous coulait la Seine, charriant son lot de péniches qui se frayaient un passage jusqu'à Rouen et Le Havre.
Quelques jeunes écervelés qui ne supportaient plus la chaleur, se baignaient dans ce cloaque d'eau polluée. »
Je vends des téléphone à Paris. Je suis en couple avec Kerenn. J'aime la musique vivante. Ma vie se résume à ces trois phrases et ne comporte rien d'exceptionnel. Mais il a suffi que Kerenn m'entraîne à Vienne pour que tout s'ébranle": ma vision du couple, mon attachement à Paris et ma compréhension de la musique. C'est qu'à Vienne, Kerenn et moi avons été les témoins d'un lourd secret": Beethoven n'aurait jamais existé... En se basant sur des faits historiques bien réels, cet ouvrage invite au voyage entre la France et l'Autriche, et dévoile la grande supercherie qu'aurait été le projet Beethoven...
Une journée d'automne de 1980, Martin, espion autrichien, prenait le train sur la route Vienne-Budapest-Bucarest. Dans le compartiment, une jeune femme, blonde, beaux yeux verts, avec un léger petit accent, entre. était-elle aussi une espionne, ou tout simplement une voyageuse ?
Jeune retraité, le commissaire divisionnaire René Pujol a retrouvé ses racines dans le village de Saint-Marcel en Lozère. À peine arrivé dans son havre de paix, une succession de faits va le contraindre à reprendre bénévolement du service en compagnie du dynamique capitaine de gendarmerie locale. Le mystère d'une disparition, la découverte de drogue et d'armes de guerre au village les conduiront à mener une traque sans répit des confins de l'Aubrac aux rives de la grande bleue. Ils seront aidés dans leur entreprise par la belle Monique et n'auront de cesse de contrarier les funestes projets de dangereux djihadistes...
Les deux pires officiers de la brigade de Lyon ont dû être menés à collaborer en tant que collègues, leur dernière chance pour montrer qu'ils sont à la hauteur de leur fonction. Ainsi, ils seront envoyés sur une scène de crime, mais déchanteront tout de suite après avoir découvert qu'il ne s'agit pas d'une enquête comme les autres. Effectivement, ils devront faire face à de grands et dangereux hommes pour sauver la vie à de nombreux enfants. Un duo explosif qui vous fera tourner la tête !
La saga des Musées des Tissus et des Arts décoratifs de Lyon a défrayé la chronique locale et nationale. Stéphane Bern et Bernard Pivot n'ont-ils pas alerté l'opinion publique du risque de voir disparaître ce joyau du patrimoine ? Quelque 135 000 personnes ont signé la pétition lancée par le collectionneur Daniel Fruman pour sauver le musée des tissus. En prise avec l'actualité, les deux auteures ont conjugué l'histoire passée, présente et future, à leur imagination pour tisser une fiction à suspense. Conservateurs capricieux et gardiens de musée sulfureux, homme de robe et femmes d'influence se livrent à un chassé-croisé haletant entre Rhône, Saône, Chine et Brésil. La culture du silence aura rarement fait autant de bruit dans les coulisses des musées devenus les antichambres du pouvoir.