B>b>From the author of /b>b>Crossing/b>b>--a National Book Award finalist--comes a dazzling tale full of fury, tenderness, war, and sex. /b>/b>br>br>Kosovo, April 1995. Arsim is a twenty-two-year-old, recently-married student at;the University of Pristina, keeping his head down to gain his degree in an;institution deeply hostile to Albanians. In a café, he meets a Serbian medical;student named Miloš. Before the day is over, everything has;changed for both of them, and within a week, two milestones take place in Arsim''s married life: his wife announces her first pregnancy, and he begins an affair with a man.br>br> br>br>As a war erupts around them, Arsim and his family are forced to move abroad, while Miloš begins a traumatizing military career. Spiraling down a dark and destructive path, Arsim believes that his one chance for redemption is to be reunited with his lost love.;Unbeknownst to him, however, Miloš is no;longer;the man he once knew.br>br>br>br>Like the legend of the bolla--a demonic serpent that devours everything in sight--Statovci delivers an electrifying story of desire, destruction, and one man''s attempt to understand the link between ecstasy, intimacy, and war.
A narrative sequel to
The story of an affair between a fifteen-year-old French girl and her Chinese lover, set in prewar Indochina
En écrivant une oeuvre nourrie de son histoire, Michel Lussey dévoile la beauté d'une existence accomplie. C'est dans un ensemble structuré et imagé, qu'il conte l'ascension sociale de ses parents au début du XXe siècle, sa vie de lycéen des années cinquante et l'ambiance étudiante du Quartier latin des décennies d'après-guerre. Une chronologie soignée pour un voyage initiatique fait de plaisirs, de chagrins et de courage, illustrant toute l'élégance et la faculté de cette famille à vivre dignement au fil du siècle. L'auteur caresse ainsi des souvenirs restés intacts dont l'épisode difficile de la Guerre d'Algérie où il relate sa carrière d'officier dentiste parachuté dans les rangs du premier Régiment Étranger de la Légion. Mais aussi des réminiscences intimement liées à sa curiosité insatiable de la nature humaine, car renoncer à l'universel serait finalement impensable pour un homme d'une telle envergure. Le film de cette vie, de la sienne et des siens, aux teintes sépia et au rythme enlevé, nous plonge et nous absorbe avant tout, dans les descriptions édifiantes de la vie d'un autre temps et de l'intimité d'un jeune Parisien. C'est avec finesse et lucidité que Michel Lussey partage ses mémoires et en révèle un authentique périple : l'itinéraire passionnant d'un gamin de Paris confronté au charivari de son époque. « Les personnages sont authentiques, attachants et hauts en couleur, un vrai plaisir ! » Joseph Joffo
Mabou quitte le Sénégal en quête de ressources pour subvenir aux besoins de sa famille. Une embarcation de fortune, le menant avec ses camarades jusqu'à la forteresse Europe, chavire en Méditerranée. S'il échappe à la noyade, c'est pour devenir l'ouvrier corvéable à merci d'un entrepreneur cupide qui voit en lui une main-d'oeuvre à bon compte. L'odyssée de Mabou et de tous ses frères de misère est ici relatée avec toute la force d'un auteur intransigeant. Après des études de Lettres Modernes à l'université de Ouagadougou, Loro Mazono travaille comme agent au dépôt légal à la direction du livre et de la promotion littéraire du Ministère de la Culture et des Arts du Burkina Faso. En décembre 1998, suite à l'assassinat du journaliste Norbert Zongo, il manifeste pour réclamer justice. En 2000, il est arrêté et écroué. Une fois libéré, il rédige un article sur ses conditions de détention. Arrivé en France, il multiplie les emplois précaires. En 2007, il saisit une opportunité pour travailler sur ce projet professionnel qui l'anime, le journalisme. Aujourd'hui, il collabore au journal L'indépendant fondé par Norbert Zongo. Loro Mazono est l'auteur de « Sans se soucier de la couleur de l'amour » et de « La porteuse de baya - Tome I » parus aux Éditions du Panthéon.
Une crise mondiale d'envergure a provoqué une vague de violence sans précédent aux États-Unis. La population, récalcitrante à l'idée de voir de nouvelles prisons se construire à proximité des villes, préfère se défendre par ses propres moyens. Un programme d'abord écarté par le Pentagone est remis au goût du jour: transformer une ancienne plateforme pétrolière abandonnée en un pénitencier sous-marin ultra-sécurisé dont nul ne peut s'échapper. Les plus dangereux criminels y sont enfermés, à deux cents mètres de profondeur. Gérée par l'U. S.Army, cette base est, durant trois années, un modèle du genre. Jusqu'au jour où son médecin en chef, le lieutenant Bradley Cayne, y descend pour effectuer sa toute dernière mission. Pour le valeureux soldat, rien ne va se dérouler comme prévu. Dès les premiers jours, d'étranges événements se produisent, dont l'apparition d'un mystérieux virus qui semble sévir chez les détenus de Prison Bank Water.
Cayne ne sortira pas indemne de cette ultime plongée dans les fonds marins, jusqu'à envisager l'irréparable?
Aujourd'hui considéré comme l'un des plus grands écrivains français, Alfred de Musset ne pouvait jouir de cette étiquette de son temps.
En 1840, arrivé dans un gouffre déserté par l'inspiration, Musset se laisse dépérir dans son appartement depuis seize mois. Gustave, éditeur et meilleur ami du poète, tente de le réveiller de cette léthargie qui s'apparente à une mort artistique afin qu'il se relève et écrive à nouveau. De cette confrontation naîtra un poème «Une soirée perdue». L'inspiration trouvée pour écrire ces quelques lignes ne sera pas sans conséquences...
Dans cette pièce, l'auteur relate les trois jours où la vie de De Musset a basculé, notamment au contact d'une certaine George Sand...
Dans cette première pièce de théâtre audacieuse, Christophe Dupuis nous emmène sur les pas d'un spécialiste de la biologie arctique et d'une artiste contemporaine reconnue, embarquant ensemble pour une expédition d'observation des ours polaires. Tout les oppose et pourtant, ils seront confrontés l'un à l'autre dans un huis clos passionnant, où un événement tragique de leur passé les reliera contre toute attente... et au péril de leur propre vie.
Rêver à de vastes étendues alors que l'on doit s'enfermer en raison d'une pandémie, qui ne l'a fait? L'auteur a transformé ce désir en un texte qui nous emporte dans les paysages et les mystères du Svalbard.
Dans ce livre, pas de conseils avisés, encore moins de recettes miracles mais le témoignage de la découverte d'une pratique enivrante. L'auteur y partage un cheminement entre les tâtonnements d'un débutant et les méthodes plus affirmées d'un professionnel. Ce qu'il appelle alors «une maigre expérience», est finalement celle d'un coureur amateur qui jongle avec son existence et apprend de façon empirique, à devenir un traileur.
C'est d'une plume vive et sincère que Julien Leroy exprime ainsi l'accomplissement de ce qui lui paraissait encore hier inimaginable. Des courses sur des dénivelés importants aux franchissements de limites jusqu'alors insoupçonnées, l'auteur se confie sans filtre sur son parcours.
Éducateur spécialisé de profession et père d'une petite fille, Julien Leroy est passionné de sport en pleine nature. C'est inspiré par de nombreux récits d'aventures, qu'il décide de partager son expérience naissante.
Rejoindre à vélo le Centre de Ressources et de Compétences de la Mucoviscidose de Rosco dans le Finistère depuis Carry-le-Rouet dans les Bouches-du-Rhône, soit un périple de 1 500 km, c'est le dé un peu fou qu'Emmanuel de Calan a relevé en 2021.
Tout à la fois récit de voyages, recueil de témoignages et d'informations médicales, « Le sel de nos vies » touche du doigt ce qui rend belles nos existences, malgré les doutes, malgré les blessures.
Si l'on parle beaucoup des migrants comme d'un problème, peu de personnes, en réalité, agissent concrètement pour leur venir en aide. L'auteure nous fait ici le récit de l'accueil d'Adam, un jeune Soudanais, dans sa famille. Ne cachant ni les difficultés du parcours, ni les joies intenses, elle se livre à coeur ouvert pour conter une aventure avant tout humaine.
Elise Boyer laisse les jeux de mots et de langue danser dans ces pages hybrides, slam et poésie, en un savoureux mélange qui pétille en noir et blanc. L'autrice nous ouvre la porte de son univers, qui laisse entrevoir son âme toute vraie, et plonge sans hésitation dans l'imaginaire, sans reprendre son souffle. Le maître mot de tous ces mots-là : une désarmante sincérité.
THE THRILLING ADVENTURES OF LOVELACE AND BABBAGE . . . in which Sydney Padua transforms one of the most compelling scientific collaborations into a hilarious series of adventures. Meet Victorian Londons most dynamic duo: Charles Babbage, the unrealized inventor of the computer, and his accomplice, Ada, Countess of Lovelace, the peculiar protoprogrammer and daughter of Lord Byron. When Lovelace translated a description of Babbages plans for an enormous mechanical calculating machine in 1842, she added annotations three times longer than the original work. Her footnotes contained the first appearance of the general computing theory, a hundred years before an actual computer was built. Sadly, Lovelace died of cancer a decade after publishing the paper, and Babbage never built any of his machines. But do not despair! The Thrilling Adventures of Lovelace and Babbage presents a rollicking alternate reality in which Lovelace and Babbage do build the Difference Engine and then use it to build runaway economic models, battle the scourge of spelling errors, explore the wilder realms of mathematics, and, of course, fight crime--for the sake of both London and science. Complete with extensive footnotes that rival those penned by Lovelace herself, historical curiosities, and never-before-seen diagrams of Babbages mechanical, steam-powered computer, The Thrilling Adventures of Lovelace and Babbage is wonderfully whimsical, utterly unusual, and, above all, entirely irresistible. (With black-and-white illustrations throughout.)
« L'homme au costume bleu impeccable, que nous serons amenés à appeler Vladimiro Caposso, tourna avec précaution la clef dans la serrure de l'appartement, attentif à ne pas faire de bruit. À peine avait-il ouvert la porte qu'il entendit les gémissements de Maria Madalena, la grande chèvre, et les cris de plaisir du dénommé Toninho. Il n'en fallait pas plus pour confirmer ce que José Matias lui avait rapporté. Sans un bruit, il avança dans l'appartement jusqu'à la porte de cette chambre qu'il connaissait si bien. Il ne lui fut pas nécessaire d'entrer pour assister au spectacle des corps nus s'agitant avec frénésie. Dans la rue se déroulait une manifestation politique, avec de nombreuses voitures pleines de gens agitant des drapeaux rouge et noir et des pancartes, des jeunes vêtus d'une chemisette rouge, le poing levé, braillant des slogans et des chants politiques. » 1975 : après des années de guerre coloniale, l'indépendance de l'Angola est proclamée, ouvrant la porte à vingt-sept années de guerre civile qui vont profondément marquer la vie du pays. Si certains essaient de profiter de la situation pour assurer leur ascension sociale, d'autres veulent croire au développement futur du pays, tandis que la grande majorité subit et souffre de ce contexte tourmenté. La diversité de ces destins se retrouve à travers les situations tragiques ou cocasses des protagonistes : Caposso l'arriviste, Sebastião le militant, Nacib l'étudiant épris de Mireille, Kasseke le vendeur à la sauvette... Campés avec sensibilité et humour par Pepetela, tous offrent une peinture passionnante de la société angolaise et de son évolution. Pepetela est un des auteurs angolais les plus connus dans les pays lusophones : sa bibliographie compte plus d'une vingtaine d'ouvrages. En 1997, il a reçu le prestigieux prix Camões récompensant l'ensemble de son oeuvre. Ancien guérillero, il fut vice-ministre de l'Éducation de 1976 à 1982. Il a également joué un rôle important au sein de diverses associations culturelles angolaises comme l'Association des Écrivains Angolais, l'Association Culturelle Chá de Caxinde et la Société des Sociologues Angolais. C'est en Angola que François Chapel s'est pris de passion pour la littérature lusophone et la langue portugaise. Après avoir lu plusieurs romans de Pepetela, il a fait sa connaissance à l'association Chá de Caxinde : l'amitié et l'envie de traduire Predadores ont fait le reste. Pepetela est un des auteurs angolais les plus connus dans les pays lusophones : sa bibliographie compte plus d'une vingtaine d'ouvrages. En 1997, il a reçu le prestigieux prix Camões récompensant l'ensemble de son oeuvre. Ancien guérillero, il fut vice-ministre de l'Éducation de 1976 à 1982. Il a également joué un rôle important au sein de diverses associations culturelles angolaises comme l'Association des Écrivains Angolais, l'Association Culturelle Chá de Caxinde et la Société des Sociologues Angolais.
Toujours à l'écoute de la beauté, encore trop souvent de l'horreur, Michel Roux laisse son âme s'imprégner de ce monde contrasté. Du ressenti à la réalité, le bonheur apparaît puis s'éloigne entre deux vers déliés. Le fil conducteur suit la voie de la raison et rejoint subtilement celle du coeur. Ce recueil porte ainsi la vision sincère du poète. Rares, délicats, intimes, les mots s'assemblent pour finalement révéler un homme désireux de dire ses sentiments. Au travers de ses vers, Michel Roux expose sa sensibilité sans effet de style ni faux semblant et ses mots, comme des notes, composent une partition harmonieuse. Il nous offre ainsi sa musique de la vie.
Un tableau au sujet religieux rebattu est découvert par le sacristain de Corbeil-les-Sommes sur le seuil de sa maison. Comment? Pourquoi? Afin de faire ouvrir une enquête, l'homme interloqué décide d'avertir le commissaire de police. Un digne émule de Maigret qui, accompagné de son escouade, devra redoubler d'ingéniosité pour dénouer les fils de cette étrange affaire.
Doté d'un humour subtil, d'un esprit érudit et d'une plume ciselée, l'auteur nous entraîne au coeur d'un récit haletant semé de références historiques et littéraires marquantes. Il élabore ainsi une composition enchevêtrée et habile au centre d'une machination rocambolesque épinglant les escrocs et faussaires de génie. Le tout rappelant combien un passé trouble permet d'élucider un présent énigmatique...
Originaire d'un village de la province de Namur en Belgique, Jean-Hubert Mabille est l'auteur de divers ouvrages éclectiques révélant une personnalité complexe, introvertie mais délicatement enjouée.
Être écrivain public bénévole en centre pénitentiaire bouleverse l'angle de vue sur les personnes détenues: c'est rencontrer l'humain plutôt que le délinquant ou le criminel.
Ce qui se déroule derrière les murs d'une prison demeure, pour la plupart d'entre nous, mal connu voire fantasmé. Au travers de 57 portraits, ce témoignage nous donne à entendre le bouillonnement des voix et des appels qui résonnent derrière les grilles. Dérangeant et nécessaire.
Après une carrière sociale qu'il a achevée en tant que dirigeant d'un centre d'accueil pour SDF, Jean Desfonds choisit, en parallèle d'une activité de correspondant de presse, d'exercer celle d'écrivain public en prison.
Jack est un jeune père de famille, employé d'usine à la petite vie bien réglée. Un soir, dans un bar, il rencontre Monsieur, réalisateur de films pornographiques, qui lui propose un premier rôle dans un remake de « Tarzan », premier film multisensoriel au monde ! Contre toute attente, Jack accepte et le film remporte un succès mirobolant. S'ensuit une descente aux enfers piquetée des brillantes lumières de la célébrité, avec son lot de jalousies, de coups bas et de manigances... Experte en philologie romane, Isabelle Deliener est également musicienne et écrivaine.
Un couple de voyageurs fait halte dans un village suspendu entre mer et montagne. Une étape de plus, somme toute ordinaire, lors d'un périple estival sans but précis. Mais ce qui aurait pu n'être qu'un simple instant de découverte heureuse au gré du vent révèle d'emblée une autre dimension, singulière, insolite. Cette fois, ici, les choses sont différentes... L'évidence du lieu, fragile, immédiate et surprenante, dessine alors pour le couple un futur inattendu. Un moment hors du temps, une réflexion profonde, une poésie intime induite par un pays propice à l'introspection et à la découverte de la « souciance ». Philosophe de formation, initié à l'école du post-modernisme et du management participatif, Éric-Louis Henri parcourt aujourd'hui le monde au service de projets d'entreprises.
Plongez au coeur d'une histoire d'amour brûlante d'actualité, celle d'une femme, éprise de vrai, d'un homme à l'activité controversée, accusé d'évasion scale ! Singulier, analytique et poétique, le récit conte la vision de cette dernière, habituellement conquise par le juste et l'essentiel, qui rencontre son contraire en un être fasciné par le nébuleux, l'apparat et le danger. Par passion, avec abnégation, elle le décortique, décrypte son fonctionnement et s'adapte plus que de bonne volonté, s'employant même à faire l'impasse sur elle-même pour sauver son adoré de la suffocation. Embourbée, sentimentalement, dans les méandres judiciaires de son bien-aimé, elle avance, à ses côtés, subit souvent, avec dévouement - comme si de rien n'était - jusqu'à ce que... Diplôme de notaire en poche et titulaire d'une formation en neurolinguistique, Charlotte Tykoczinsky a vite délaissé sa profession pour s'adonner à sa vocation : l'écriture.
Avec « La queue du lézard», Muriel Batave-Matton nous livre le septième opus d'une fresque humaine orchestrée de main de maître. On y retrouvera d'un côté Anne, sur le point de prendre sa retraite, et de l'autre Mathieu et Pauline, qui se questionnent sur le déroulement de leur futur. Quel est le rôle de la transmission, dans ces relations ? On observera à travers ces personnages aux émotions bien réelles, ciselées avec finesse, un cycle sans cesse renouvelé, celui de la vie humaine qui se prolonge à l'infini, déjouant la mort, au propre comme au figuré.
Muriel Batave-Matton reste fidèle aux auteurs réalistes du XIXème siècle qui ont baigné sa jeunesse et ses études littéraires. Analyste éclairée de ses semblables, elle excelle à traduire les sentiments de ses personnages avec lucidité et pertinence. Son écriture rythmée nous emporte dans son élan, de la première à la dernière page.
Auteur de sept romans, Muriel Batave-Matton a su développer un style soigné et rythmé, aux intrigues captivantes.
Le père de Christian Pluchon était tanneur, spécialisé dans le traitement des peaux de vache pour en faire du cuir. Mélange d'opposition et d'affection, la relation entre les deux hommes a été jalonnée par la présence de ces paisibles ruminants. À travers différentes anecdotes, l'auteur invite le lecteur à découvrir son univers et son chemin de vie.
À travers ce recueil, Cyrielle Héronneau emmène le lecteur dans un voyage à la fois familier et toujours nouveau: celui du sentiment amoureux, de ses ressentis et ses contradictions, ses émotions et ses exaltations. Dans les mots qu'elle dessine avec sensibilité, elle nous fait traverser toutes ses formes avec une incroyable intensité.