Filtrer
Vuibert
-
Les mémoires d'un génie de la mode Peu avant sa mort soudaine en 1957, Christian Dior, alors au faîte de sa gloire, entreprit de publier ses Mémoires où, avec humour et style, il retrace le destin exceptionnel d'un homme qui, inconnu un jour, célèbre dans le monde entier le lendemain, révolutionna la mode.
Rien, pourtant, ne semblait l'y prédestiner. C'est sur le tard que, pressé par la nécessité, il s'initie à la gravure de mode, puis travaille avec les plus grands. En 1946 (il a alors 41 ans), naît la maison Christian Dior. Quelques mois plus tard, sa première collection rencontre un succès immédiat et éclatant : son existence en sera irrémédiablement bouleversée.
C'est ce parcours hors du commun que, dans un style surprenant d'élégance, Christian Dior nous fait découvrir. Il nous invite à passer les portes du 30, avenue Montaigne pour assister à la naissance d'une collection ou pénétrer dans les coulisses d'un défilé. Et, surtout, il dit ses intuitions géniales, avoue ses doutes, ses audaces, son obsession du détail et du travail soigné, tout ce qui en fit l'un des plus grands noms de la haute couture. -
Le pouvoir, l'amour et le sang : la vie du plus populaire de nos rois ne pouvait qu'inspirer le Dumas historien.
« Dumas écrit : "Henri IV naquit à Pau le 13 décembre 1553." Et aussitôt la fête commence. Les acteurs entrent en scène. Ils font un bruit d'enfer et de paradis. Ils sautent, s'assassinent, se caressent et conspirent. On aperçoit pêle-mêle deux ou trois rois, une Catherine de Médicis qui offre à ses amies des gants empoisonnés, des duels, des chambres de dames, des incestes, des scélératesses, des mousquets, des mitres et des bonnets fourrés, des crépuscules, des splendeurs. »Gilles LapougeDans ce récit historique mené tambour battant, Alexandre Dumas (1802-1870) raconte un homme truculent, jouet consentant de ses passions mais familier de la guerre, ingrat mais attachant. Publié initialement en feuilleton en 1855, ce portrait marque la rencontre du plus populaire de nos rois avec le plus flamboyant de nos hommes de lettres. -
L'adieu à l'Empire ; Napoléon, de Leipzig à l'île d'Elbe
Thierry Nélias
- Vuibert
- La Librairie Vuibert
- 26 Février 2016
- 9782311101089
Le premier exil de l'Empereur, neuf jours d'un voyage méconnu Octobre 1813, la Grande Armée est défaite à Leipzig.
En quelques semaines, l'empire bâti par Napoléon va s'écrouler. Bientôt, Paris sera occupé.Vaincu, destitué, l'Empereur est condamné à l'exil. En chemin vers l'île d'Elbe, il traverse la France sous bonne garde et découvre un pays déchiré. Ballotté entre les vivats de la foule et ses lazzis haineux, il manque plus d'une fois de se faire tuer, se déguise pour ne pas être reconnu, change d'itinéraire...De Leipzig à Paris, puis de Fontainebleau à Saint-Raphaël, nous suivons, pas à pas, un homme aux ambitions brisées. Tandis qu'il s'achemine vers la terre de son exil, le sort de la France bascule, l'impératrice Marie-Louise s'en retourne en Autriche, anéantissant les rêves dynastiques de son époux, et Louis XVIII débarque à Calais pour relever le trône de ses ancêtres.
À travers ce récit vivant et surprenant, Thierry Nélias brosse le tableau d'un Empire à son crépuscule. Celui de la France qui refuse de renoncer à sa grandeur. -
Les soeurs savantes ; Marie Curie et Bronia Dluska, deux destins qui ont fait l'histoire
Natacha Henry
- Vuibert
- La Librairie Vuibert
- 20 Mars 2015
- 9782311100297
Une grande scientifique peut en cacher une autre...
Sans sa soeur aînée Bronia, Marie Curie serait restée gouvernante d'enfants. Elle n'aurait jamais gagné Paris pour s'inscrire à la Sorbonne, ni épousé Pierre Curie, sans doute pas découvert la radioactivité et encore moins obtenu deux prix Nobel.Sans Marie, Bronia Dluska ne serait pas devenue l'une des premières femmes médecins, elle n'aurait pas ouvert le meilleur sanatorium de Pologne ni dévoué autant d'énergie à ses engagements, côtoyant les esprits les plus brillants de son temps.
Entre la Pologne et Paris, de 1867 à 1934, les deux femmes ont tout partagé, ambitions professionnelles, douleurs de l'histoire, joies et drames privés. Toujours présentes l'une pour l'autre, travailleuses acharnées, Bronia et Marie étaient intimement convaincues que le progrès scientifique apporterait le bonheur à leurs semblables. Mais pour elles la famille passait avant tout.
C'est le portrait croisé de ces pionnières, aux destins indissociables, que raconte Natacha Henry pour la première fois.