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Beauchesne
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La primauté de l'Evêque de Rome et l'unité de l'Eglise du Christ
Roland Minnerath
- Beauchesne
- Le Point Theologique
- 21 Octobre 2010
- 9782701015712
Le thème de la primauté de l'évêque de Rome a reçu une attention continue ces dernières années dans les dialogues oecuméniques. Qu'il suffise de rappeler les travaux de la Commission internationale anglicane-catholique romaine sur L'autorité dans l'Église, ceux du Groupe des Dombes où catholiques et protestants se sont penchés sur Le ministère de communion dans l'Église universelle (1985), l'annexe au Sixième Rapport du dialogue Église catholique - Conseil oecuménique des Églises sur L'Église locale et universelle, 1990, ou le document du Comité mixte catholique-orthodoxe en France sur La primauté romaine dans la communion des Églises (1991), outre les nombreux symposiums académiques sur la question de la primauté au premier et au deuxième millénaire.
La primauté de l'évêque de Rome est actuellement au centre des discussions de la Commission Mixte Internationale pour le dialogue théologique entre l'Église catholique et l'Église orthodoxe.
Il y a quelques années, le pape Jean-Paul II publiait son encyclique Ut unum sint (1995), invitant les Églises et les communautés ecclésiales à exprimer leur point de vue sur le nécessaire ministère d'unité au service de l'Église entière. Jean-Paul II invitait à distinguer entre le contenu essentiel de la primauté et les modes de son exercice.
Entre catholiques, orthodoxes et anglicans, il est clair que le premier siège est celui de Rome. Il s'agit encore de préciser « quel est son rôle spécifique dans une ecclésiologie de communion » comme le dit le document de Ravenne adopté en 2007 par la Commission Mixte Internationale.
Le dialogue avec l'Orthodoxie a mis en lumière que, pour l'Orient, la primauté - à tous les niveaux : diocésain, provincial, patriarcal, universel - est toujours articulée à la synodalité, dans une tension féconde alimentée à la communion trinitaire et eucharistique.
Dans le contexte nouveau où vit le monde globalisé, la communion des Églises du Christ est plus que jamais un but à atteindre, en fidélité à la volonté du Seigneur.
Grand format 24.00 €Sur commande
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Doctrine sociale de l'Eglise et bien commun
Roland Minnerath
- Beauchesne
- Le Point Theologique
- 21 Octobre 2010
- 9782701015705
Qui a prêté assez d'attention à Léon XIII lorsqu'il a rappelé que l'homme passe avant l'outil et la production ? Qui a suivi Pie XI lorsqu'il a formulé le principe de subsidiarité qui est tronqué même dans l'Europe qui l'a inscrit dans son traité de Maastricht ? Qui a écouté Jean Paul II lorsqu'il lançait, au risque d'être incompris l'idée de l'employeur indirect - la collectivité - qui devrait prendre en charge tout salarié qui perd son emploi. On n'a pas attendu la crise de 2008 pour dire que le bien commun exige une instance de régulation à tous les niveaux où il se concrétise. Encore récemment, Benoît XVI, dans son encyclique Caritas in veritate (2009) rappelle que l'économie n'est pas le tout de l'homme et de la société, et que toute approche réductrice des phénomènes sociaux conduit à l'échec. L'homme est un mystère qu'aucun système ni aucune idéologie ne peuvent enfermer dans leurs limites.
C'est le mérite de la Doctrine Sociale de l'Église de revenir toujours à la racine de l'humain, là où le Créateur a inscrit ce que « la sagesse éthique de l'humanité appelle la loi naturelle » (Caritas in veritate 59). Rechercher ce qui est l'humain dans l'homme conduit à choisir entre « deux types de rationalité, celle de la raison ouverte à la transcendance et celle d'une raison close dans l'immanence technologique ». La Doctrine Sociale de l'Église est ce travail incessant de la raison sur les profondeurs de notre humanité, une raison illuminée par « la vérité de l'amour du Christ dans la société ».
Grand format 25.00 €Sur commande
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Le baptême et ses symboles ; aux sources du salut
Gérard-henry Baudry
- Beauchesne
- Le Point Theologique
- 1 Avril 2001
- 9782701014159
Cet ouvrage a pour but d'ouvrir à l'intelligence du sacrement de baptême, d'offrir aux catéchistes, aux pasteurs et aux si nombreux catéchumènes ou "grands recommençants" un dossier qui dévoile les richesses spirituelles de la liturgie baptismale.
L'auteur reprend ici la méthode des Pères de l'Eglise, toujours actuelle et efficace, dont Vatican II a souligné la grande valeur pédagogique : il présente, analyse et commente chacun des symboles fondamentaux de l'initiation chrétienne, non seulement bibliques mais universels, mis en jeu dans l'action liturgique et qui contribuent par eux-mêmes à l'éducation chrétienne : l'eau, l'huile d'onction, le vêtement blanc, le symbole du sceau, la métaphore des deux voies..., ainsi que la grande symbolique paulinienne de la mise au tombeau avec le Christ, pour ne citer que les plus significatifs.
Ces symboles ne relèvent pas d'une curiosité archéologique : touchant les sens et l'intelligence, ils expriment et effectuent à la fois l'action sacramentelle. En les mettant en lumière, l'auteur permet d'accéder à la dynamique interne du baptême.
Grand format 21.04 €Sur commande
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David et Jonathan ; histoire d'un mythe
Régis Courtray
- Beauchesne
- Le Point Theologique
- 17 Novembre 2010
- 9782701015729
L'histoire de David et Jonathan est devenue aujourd'hui un véritable mythe revendiqué par bien des mouvements homosexuels qui croient y lire le récit d'une passion amoureuse entre deux hommes, alors même que la Bible condamne de manière explicite l'homosexualité comme une faute grave.
Cette lecture s'est tellement imposée depuis quelques décennies que les ouvrages qui traitent de la question de l'homosexualité dans la Bible ne peuvent contourner le passage et l'analysent dans les moindres détails afin de découvrir si le texte parle ou non d'une amitié particulière entre le fils de Saül et le futur roi d'Israël, ancêtre de Jésus.
Le texte est devenu le lieu de toutes les passions et révèle les interrogations profondes de la société sur la question homosexuelle.
Une telle lecture fait table rase de siècles d'interprétations riches et variées qui célèbrent dans l'affection des deux hommes l'expression parfaite de l'amitié. Le texte n'a pas attendu le xxe siècle pour être commenté, illustré, médité : il a été interprété par le judaïsme, puis par le christianisme, fut représenté par les peintres, mis en musique, enfin récupéré par des mouvements de pensée revendicatifs.
Grand format 39.00 €Sur commande
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Du libre-arbitre et de la liberté ; recherches sur le libre-arbitre et la liberté
Laurent Sentis
- Beauchesne
- Le Point Theologique
- 13 Novembre 2019
- 9782701022949
Tous, nous proclamons notre amour de la liberté. Si celle-ci est comprise comme capacité d'initiative, comment un chrétien ne serait pas profondément d'accord ? Sur ce point, l'esprit moderne est vraiment l'héritier du christianisme. En effet, pour la tradition chrétienne, la liberté nous est accordée pour que nous puissions coopérer à la réalisation de son dessein bienveillant. Dieu nous a créés pour nous rassembler autour de son Fils bien aimé et nous faire partager sa béatitude. Il nous a donné une capacité d'initiative afin que nous prenions notre part de responsabilité dans la construction de ce monde nouveau. Mais quand dans notre culture, la liberté semble être à elle-même sa propre fin, l'intelligence de la foi s'en trouve déstabilisée. On voit alors naître un conflit entre ceux qui sont influencés par l'approche moderne et ceux qui se veulent fidèles à la tradition. Nous en faisons chaque jour l'expérience, sous le mot liberté nous ne mettons pas tous la même chose. C'est pour comprendre ce malaise et y faire face que cet ouvrage a été rédigé. L'approche historique montre que la notion de libre-arbitre est aussi ancienne que le christianisme et n'a jamais cessé de faire l'objet de recherches et de débats. En même temps, cette approche suggère une perception plus profonde de la réalité que veut désigner l'expression libre-arbitre, que la Bible désigne à travers le symbole du coeur et que nous, modernes, nous nommons à juste titre capacité d'initiative. Cette perception permet un nouveau regard sur la morale, trop souvent décrite comme limitation de la liberté alors qu'elle devrait, comme la grâce, être comprise comme ce qui contribue à la croissance de la capacité d'initiative.
Dans cet ouvrage, le père Laurent Sentis précise et justifie la conception de la liberté qu'il avait esquissée dans ses travaux précédents : Saint Thomas d'Aquin et le mal, et De l'utilité des vertus. Il propose ainsi le troisième tome d'une trilogie consacrée à l'anthropologie chrétienne.
Grand format 12.00 €Sur commande
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Le baptême, sacrement de la foi : aspects théologiques et pastoraux de la réforme liturgique du baptême des petits enfants
Philippe Hebert
- Beauchesne
- Le Point Theologique
- 15 Octobre 2021
- 9782701022956
Dans une France déchristianisée, de nombreux prêtres et laïcs s'interrogent sur notre pastorale du baptême des petits enfants. Malgré les préparations mises en place, est-il toujours légitime de célébrer le sacrement de la foi quand il est demandé sans motif de foi apparent ? Comment s'assurer que la vérité du sacrement du baptême sera respectée, comme le demande l'Église ?
Ce questionnement n'est pas nouveau. Dès les années cinquante, il a été l'occasion de vifs débats théologiques et pastoraux dans le clergé français. Sans doute n'était-il pas propre à notre pays, pour que le concile Vatican II ait demandé la révision du rite du baptême des petits enfants afin qu'il soit adapté « à la situation réelle des tout-petits » et que l'on mette en évidence « le rôle des parents et des parrains et marraines, ainsi que leurs devoirs » (Sacrosanctum Concilium, 67).
Suivant ces directives, le nouveau Rituel du baptême des petits enfants demanda en outre que les parents, parrains et marraines s'engagent personnellement dans la renonciation au mal et la profession de foi, non plus au nom de l'enfant comme auparavant, mais en leur nom propre.
Pourquoi un tel changement et qu'implique-t-il ? Après avoir parcouru la tradition, la genèse et la structure de ce nouveau rituel, traité des raisons historiques et théologiques qui ont conduit à l'évolution de la lex orandi, et présenté les grands axes de la pastorale du baptême des petits enfants en France après Vatican II, nous nous efforçons de répondre à cette question et de mettre en lumière ce que nous révèle la liturgie du discernement à adopter dans l'accompagnement des parents qui demandent le baptême de leur enfant.
Grand format 21.00 €Sur commande
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Le renouveau liturgique ; une relecture
Adrien Nocent
- Beauchesne
- Le Point Theologique
- 1 Avril 1993
- 9782701012841
Le 4 décembre 1963, Sa Sainteté le Pape Paul VI promulguait solennellement dans la Basilique Saint-Pierre la Constitution Sacrosanctum Concilium sur la liturgie.
Après 25 ans de pratique des applications de la Constitution et tout en louant leur bien-fondé, il ne semble pas irrespectueux de remarquer, tout en louant le travail considérable réalisé dans le passé pour les célébrations liturgiques, certaines lacunes ou, déjà, l'un ou l'autre manque d'adaptation. Ce qui peut être proposé de nos jours ne pouvait l'être, bien souvent, a vingt-cinq ans. Ce qui pouvait apparaître alors, au moment d'un travail intense, parfois peu théorique, sans l'appui d'une expérience maintenant acquise, comme un progrès, peut, aujourd'hui, nous poser quelques problèmes. Ceci n'infirme en rien la qualité du travail réalisé jadis. Si le renouveau liturgique a besoin d'une relecture, pensons-nous, cela ne signifie nullement qu'il a été mal réalisé, mais qu'il a été réalisé à telle époque, en telles circonstances qui se sont parfois modifiées...
La célébration de la liturgie est celle que l'Église propose et elle n'appartient à aucun individu.
Grand format 34.00 €Indisponible