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Res Publica
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Histoire populaire et parlementaire de la commune de Paris
Arthur Arnould
- Res Publica
- 1 Décembre 2009
- 9782358100144
La Commune de Paris désigne une période insurrectionnelle, essentiellement à Paris, qui dure de 18 mars 1871 jusqu'à la semaine sanglante, entre les 21 et 28 mai 1871. Le texte est rédigé comme un reportage journalistique au quotidien. L'événement a inspiré ensuite les grands penseurs, de Blanqui à Proudhon, de Marx à Bakounine.
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Pour tout le monde, l'ingénieur informatique jouit d'une position sociale enviable : normalement il gagne bien sa vie, s'épanouit dans son travail où il est à la pointe de la technologie. Il bénéficie d'une grande autonomie dans ses projets grâce à son statut de cadre (ou assimilé). Or la réalité de l'ingénieur, celle des SSII (sociétés de services en ingénierie informatique), où il est plongé au quotidien, est toute autre. Très éloignée des clichés et idées reçues ! L'auteur, Nicolas Séné, nous propose une véritable immersion dans l'univers impitoyable des SSII où les ingénieurs sont de la « viande » que l'on commercialise à des grandes sociétés clientes (des grands comptes, comme il se dit !). Ces SSII, qui occupent la place stratégique de sous-traitant dans le processus industriel, se sont lancées dans la chasse aux moindres coûts et la course aux dividendes. A l'arrivée, l'ingénieur reste la dernière variable d'ajustement. Et le management moderne a plus d'un tour dans ses manuels pour le réduire à une simple cheville ouvrière, lui donnant l'illusion d'appartenir à ce que l'on nomme l'«encadrement» avec en prime le titre pompeux et usurpé «d'ingénieur»... alors qu'aucun d'entres eux ne sont ni politechniciens, ni centraliens, ni arts et métiers, ni ensa, ni agro, ni agri, ni rien du tout. L'auteur démontre surtout que le monde de l'informatique est devenu un véritable laboratoire social. Des projets clés comme le CDI de chantier y est testé. Un laboratoire qui annonce une vraie révolution sociale dans l'ensemble du monde du travail en individualisant les relations au détriment des garants collectifs et en précarisant par le haut la pietaille du bas.
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Le métier de banquier s'est profondément modifié dans les vingt dernières années à la suite du vote de lois qui ont permis la mise en place d'un système déshumanisé et contraire au rôle social d'un banquier.
Ces lois comme tant d'autres, sont votées et mises en application sans attirer l'attention du grand public et même de la presse. Toute loi produit des effets et une partie de celles-ci a produit des effets pervers. Plus personne ne peut nier aujourd'hui la réalité et la gravité de la crise qui frappe l'ensemble des pays. Crise financière au départ qui se transforme en crise économique. Les financiers s'en sortiront et rattraperont leurs pertes alors que les citoyens ne rattraperont jamais ce qu'ils ont perdu par la faute des financiers.
Le banquier n'a jamais été l'ami du client mais ces dernières années, il est devenu un danger permanent pour le client. Ni l'Etat, ni la Justice, ne forment un rempart protecteur. L'Etat laisse faire, plus grave, il se fait complice du système. La Justice est majoritairement sourde, muette et aveugle. A la lecture, vous constaterez que le banquier est en fait un géant au pied d'argile, qu'il est fort de notre faiblesse individuelle, de notre démission permanente, de la peur qu'il inspire.
En appliquant un certain nombre de recettes, vous constaterez que la peur change de camp, que ce qui n'était pas possible hier devient possible aujourd'hui à condition de prendre ses responsabilités.
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Saviez-vous que la flambée du prix du pétrole était prévisible depuis 2004 et que malgré la chute des cours, nous sommes face à une nouvelle flambée, encore plus forte ? saviez-vous que si les compagnies pétrolières font des profits records, les pays producteurs, eux, ne récupèrent qu'un tiers de leur pétrole ? saviez-vous que les erreurs de prévisions sur les prix du pétrole font perdre des milliards de dollars à certains pays pauvres très endettés ? enfin, savez-vous que si nous ne brisons pas notre dépendance au pétrole, l'avenir de la planète risque d'être fortement perturbé.
Dans " un baril de pétrole contre 100 mensonges " thomas porcher met à jour la stratégie de l'opep visant à épuiser les réserves des autres pays producteurs de pétrole afin d'être en monopole. en révélant - pour la première fois - le contenu des contrats pétroliers, il dévoile la réalité sordide des relations entre compagnies pétrolières et pays producteurs. en recoupant les déclarations et les enquêtes, il pointe également les erreurs faites par les experts et leurs conséquences parfois désastreuses.
Il propose surtout un scénario de la situation mondiale en 2050 et démontre que nos comportements doivent changer dès aujourd'hui.
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Il y a quelques mois, la gestion de la pandémie de la grippe aviaire, avec les mesures de prévention et d'information du ministère de la Santé de l'époque avait été exemplaire.
Aujourd'hui, la pandémie de la grippe A/H1N1 semble répondre à la même prudence, à la même vigilance et aux mêmes principes de précaution du gouvernement actuel et de l'OMS. Le livre de Geneviève Bouche a l'immense mérite d'informer le public mais aussi les médecins de toutes spécialités et notamment les médecins généralistes au contact de la population, sur un certain nombre d'éclaircissements : origine de cette grippe au Mexique, information sur les données scientifiques de ce virus, information sur la virulence de cette pandémie, information sur le mode de propagation, information sur les précautions à prendre, information sur le traitement de cette grippe, mais aussi sur les possibilités de vaccins.
Ce livre souligne la sagesse et le point d'équilibre qu'il faut adopter devant ce risque de pandémie, entre deux extrêmes : ne pas faire assez, ou faire trop, pour ne pas dramatiser inutilement ce risque. Professeur Claude Maylin.
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Voici le premier livre jeu sur la musique.
Il propose toute une série de questions et de réponses, dans plusieurs catégories : la musique classique, le jazz, la chanson à textes, la musique au cinéma, la vie des compositeurs... Le but du jeu : cerner votre profil de mélomane. Vous pouvez être romantique, littéraire, historien, cinéphile, connaisseur ou amateur... Il y a de nombreuses façons d'aimer la musique ! Ainsi vous pourrez affiner votre personnalité, vos connaissances, découvrir de nouvelles oeuvres et enrichir votre bagage musical.
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Près de 14 milliards de bénéfice en 2008, 100 milliards de capitalisation boursière, une présence industrielle dans 130 pays, les français, comme le disent certains hommes politiques, devraient être fiers de Total !
Si cette réussite financière est flagrante, c'est une réalité beaucoup plus sombre qui apparaît lorsque l'on sonde la face cachée de cette compagnie. AZF, Erika, Birmanie, Irak, Iran, Canada, etc..., la liste est longue et reflète trop souvent l'inacceptable : corruption, détournements d'actifs, soutien à des régimes politiques dictatoriaux, graves atteintes à l'environnement et à la santé publique...
Total(e) impunité, un livre "citoyen" qui se lit comme un roman, dresse un tableau sans complaisance des activités de Total en France et dans d'autres pays. Récits, portraits, témoignages bouleversants et chiffres à l'appui, il décrypte entre autres révélations, les liens puissants qui unissant ceux qui dirigent le groupe en sous-main et les plus hautes instances de l'Etat, mais propose aussi une véritable 'révolution copernicienne" pour cette compagnie afin d'appréhender un nouvel avenir énergétique.
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Olivier Besancenot ou la révolution en recommandé
Beauhaire Julien
- Res Publica
- 1 Décembre 2008
- 9782358100007
La révolte gronde. La Bourse s'effondre et le capitalisme est en crise. La gauche et la droite se morfondent. Seuls l'extrême gauche et son porte-parole Olivier Besancenot prévoient le "grand soir". Le jeune manifestant antiraciste de Nanterre a déjà été candidat à deux reprises aux présidentielles sous les couleurs de la Ligue communiste révolutionnaire. A 34 ans, l'éternel travailleur à vélo d'une France convertie à l'économie de marché milite avec brio et en appelle à la mobilisation autour de son nouveau parti révolutionnaire et anticapitaliste. Entre la radicalité d'une "bonne vieille révolution" et la chimère démocratique d'une participation ouvrière à un gouvernement, le trotskisme à visage humain s'impatiente. Depuis le divan rouge de "Vivement dimanche", Olivier Besancenot, plus populaire que jamais, ne manque pas de susciter curiosité, admiration mais surtout interrogations sur l'avenir de l'idéal communiste au XXIe siècle.
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La lutte contre les discriminations et la promotion de la Diversité (âge, genre, origines sociales, culturelles ou ethniques, apparence physique, orientation sexuelle, .) peinent, depuis une décennie, à produire des résultats probants.
Ce constat nous invite à nous interroger sur les freins qui font obstacle à l'égalité des chances, tout en portant un regard critique sur les moyens mis en oeuvre pour lutter contre une telle situation ainsi que la force et la cohérence de nos engagements. L'ouvrage Le Réflexe Sapiens adopte une démarche novatrice et stimulante, à la fois réflexive et pragmatique. Il met l'accent sur les pratiques des entreprises (privées et publiques), et leurs conséquences sociétales.
Il analyse les fondements des représentations sociales trop souvent stigmatisantes, puis étudie l'influence exercée par les affects et la subjectivité des individus sur leurs décisions. Il questionne, ensuite, l'ensemble des périphrases métaphoriques et assignataires qui défient les valeurs de la République. Il propose de nous défaire des travers de l'imaginaire collectif en désignant « les choses » par leur véritable nom.
Par une approche originale, Le Réflexe Sapiens échappe au travers manichéen faisant de la Diversité une catégorie close, en démontrant que chaque être humain est, par nature, à la fois sujet et objet de représentations. Cet ouvrage, parsemé de témoignages de différents acteurs invités à dialoguer avec l'auteur, répond aussi bien, aux responsables d'entreprises, aux professionnels de la Diversité, aux acteurs politiques, aux chercheurs, aux étudiants, ainsi qu'aux acteurs de la société civile.
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Gotha noir de France ; démentir par l'exemple les préjugés (édition 2010/2011)
Collectif
- Res Publica
- 2 Novembre 2010
- 9782358100311
Parce que, comme le dit la devise de Lilian Thuram, « L'Homme, petit ou grand, a besoin d'étoiles pour se réparer », le Club Efficience a tenté dans cet ouvrage collectif, le Gotha Noir de France, d'offrir, en particulier à une jeunesse issue des minorités parfois découragée par les obstacles qu'elle rencontre pour trouver pleinement sa place dans notre société, quelques modèles de référence.
Après avoir en effet rappelé sommairement quelques éléments historiques, le Gotha Noir de France dresse, par d'éminentes contributions, un portrait de la place des Noirs dans la société française contemporaine avant d'évoquer près de 200 parcours d'excellence : hommes et femmes d'affaires ou politiques, grands chefs cuisiniers, sportifs, intellectuels, artistes en tous domaines., elles sont nombreuses ces « étoiles » qui éclairent le drapeau tricolore.
Nombreuses certes, mais sont-elles assez brillantes pour bouter définitivement dans l'ombre les préjugés sur les Noirs dans le monde professionnel ? Il semble que non. Des Dumas, Césaire, Senghor et, de nos jours, Edouard Glissant, Marie Ndiaye, Fatou Diome etc., ont pourtant démontré depuis fort longtemps que les Noirs ne sont pas confinés à l'oralité « primitive » de leurs cultures. Des chefs d'entreprise tels que Tidjane Thiam, Hapsatou Sy, Mohamed Dia et tant d'autres, ont prouvé que les Noirs ne sont pas des « dilettants » ataviquement bercés par la chaleur des Tropiques ; etc.
« Démentir les préjugés par l'exemple » comme l'écrit Louis Schweitzer, ancien Président de la HALDE, dans sa préface : tel est l'objectif du « Gotha Noir de France » !
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Dans Souvenirs d'Afghanistan M. H. Anwar (1914-1993) raconte son histoire et ses expériences de gamin des rues et petit délinquant, qui grandit dans les quartiers pauvres de Kaboul. Enfant curieux et intelligent, il a la chance d'être accepté au lycée Habibia et devient un adolescent idéaliste rêvant d'un avenir fondé sur la raison et la science. Mais juste au moment où la modernisation commençait à s'annoncer, il voit son pays glisser dans le gouffre de l'intégrisme religieux. Malgré la discrimination ethnique et religieuse dont il était victime, il réussit à obtenir une bourse et partit faire des études universitaires aux Etats-Unis. La deuxième partie du livre raconte sa dernière expérience au ministère de l'éducation et en tant que directeur de l'institut de formation des instituteurs.
Mais en 1943, menacé d'emprisonnement par le gouvernement monarchique d'Afghanistan parce qu'il était pour des réformes démocratiques et se prononçait en faveur des droits des minorités et des femmes (il refusait en particulier que sa femme, originaire des Etats-Unis, porte la burqa), M. H. Anwar dut s'exiler.
Comme le dit la préface de 2004, « Souvenirs d'Afghanistan décrit les espoirs fragiles de quelques afghans qui voulaient construire l'avenir de leur pays. (...) Ces voix étaient manifestement absentes lorsque la Loya Jirga, un assemblage de seigneurs de la guerre et d'intégristes musulmans sous l'égide des forces d'occupation américaines, s'est réunie à Kaboul l'hiver dernier pour adopter une nouvelle constitution. »
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We are confronted today bu scourges never before faced by mankind. Global warming, chronic starvation and the decline of biodiversity are the result of an unrelenting forced march toward economic progress. The world has been organized in such a way that half of its population has been left behind.
Our new course of conduct must be defined by solidarity, sharing and communion with nature. These are precisely the fundamental and enduring values of African culture !
Africa can and must yake the lead in creating a world in which nature and man are finally reconciled, a world rooted in development that, going forward, must necessarily be equitable and sustainable !
Denis Sassou Nguesso President of the Republic of Congo
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Pour reprendre les termes de la préface de Katsuni, "Bienvenue à Pornoland" vous offre un ticket d'entrée dans la grande usine du X où l'on fabrique du rêve "interdit aux moins de 18 ans".
Jamais une telle immersion dans le monde du X n'a été proposée ! De Budapest, Prague, Ibiza, Barcelone, Madrid, Bruxelles, Berlin, Los Angeles à Las Vegas, tous les rouages du porno, son mode de fonctionnement, son économie, ses coulisses, ses tournages, ses événements internationaux sont dévoilés, analysés, commentés. Sans cynisme, sans concession, sans jugement. Des fantasmes des unes aux frasques des autres, les parcours des stars du X et de ses autres protagonistes vous étonneront.
Paul- Jérôme Renevier propose une série de portraits aussi inédits que surprenants et profondément humains. Avec une immense tendresse pour des personnages insolites et hauts en couleur : Jesse Jane, Silvia Saint, Lanny Barby, Jessica Drake, Brigitte Bui, Claudia Rossi, Jenna Jameson ou encore les Françaises, Katsuni, Melissa Lauren, Clara Morgane, Yasmine, etc., etc., etc.
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Voici un titre célèbre : L'Etat et la Révolution ; il appartient à Lénine, qui l'a mis sur l'un de ses livres les plus importants, celui où il expose la théorie du marxisme quant à l'Etat.
Lénine a publié ce livre en 1918 ; il s'y appuie sur Marx et sur Engels pour exprimer la volonté marxiste de briser la machine étatique afin d'entraîner son dépérissement. Le modèle proclamé est la Commune de Paris. La Commune est un modèle d'autant plus parfait qu'elle est réduite au silence, c'est-à-dire à l'idée qu'on s'en fait. On la raconte, on l'interprète, on s'y réfère, elle est de l'histoire ou du mythe, mais quelle est sa pensée directe et vive ? Aucun doute, elle est ignorée.
La preuve : un Communard l'a rassemblée dans un livre à l'écriture accessible à tous, et ce livre est inconnu. Chose étrange en voici le titre : L'Etat et la Révolution. Cet Etat et la Révolution est d'Arthur Arnould et -a paru en 1877, soit 40 ans avant le livre de Lénine. Cet Etat et la Révolution est également anti-étatique, mais à partir d'une expérience réelle. Cet Etat et la Révolution prône l'union libre des collectivités contre le centralisme autoritaire.
Avant la lettre, il veut l'autogestion, la décentralisation... Fallait-il que l'interprétation marxiste de la Commune passât par l'oubli du livre d'Arnould ? C'est probable, mais l'Etat marxiste n'a fait jusqu'à présent dépérir que sa propre idéologie. L'histoire est une lecture, elle dépend du regard porté sur les faits. Il est plus que temps d'en revenir aux textes originels pour s'éclaircir la vue.
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Le vin français : un chef-d'oeuvre en péril
Alexandre Rouge
- Res Publica
- 14 Septembre 2009
- 9782358100076
Le vin français est en danger ! Plusieurs menaces pèsent sur son avenir : les produits chimiques utilisés dans la vigne, et en vinification, provoquent une dénaturation du vin.
De plus, ils sont dangereux pour la santé humaine. En même temps, sur fond de productivisme mondialisé et acharné, les produits chimiques ont dégradé la notion de terroir. Les AOC, basées sur celle-ci, ont donc été peu à peu dégradées. Le pire, c'est que 1'INAO a laissé faire ! Pendant ce temps à Bruxelles, a été mise en route une réforme, afin de redonner aux vins européens la prééminence au niveau mondial.
Hélas, on s'aperçoit que le lien au terroir, qui est la base de toutes nos appellations, a été perdu de vue au fil des années. Toutefois, il existe encore des vignerons qui ont su préserver la notion de terroir et ils produisent de véritables vins d'origine, authentiques et délicieux. Ce livre nous entraîne à leur rencontre et nous fait découvrir leur passion du vin.
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Nos ancêtres les " Homos " Érectus, Sapiens etc, tels qu'en parlent les paléontologues ont succédé aux Australopithèques, les pré-humains, il y a environ entre 3 millions d'année. Depuis l'apparition du genre humain, la famille dans les sociétés a, à quelques rarissimes exceptions près, toujours été structurée suivant un seul et unique schéma : Un mâle dominant, une ou plusieurs femelles soumises, des petits, comme généralement chez les animaux. Un axe que l'on croyait immuable. Or la deuxième guerre mondiale a été le point de départ d'un changement radical, fulgurant et irréversible du masculin et, de fait de toutes les bases de nos sociétés occidentales. Puis, la libération de la femme qui lui donne l'accès aux pouvoirs conduit à un inversement total des valeurs qui ne laisse rien comme auparavant. Depuis, petit à petit, notre pilier, notre " gorille à dos argenté " se fragilise, se féminise, se meurt. Un changement majeur s'explique toujours par un faisceau croisé de plusieurs causes. Dans ce cas: L'histoire, l'économie, la religion que l'on délaisse : Dieu était un homme et a toujours assis la suprématie de ses congénères, réduit le féminin. L'homme s'éloigne simultanément de Dieu et de sa virilité... Dieu ne fume plus de Havanes... Mais surtout et plus grave, des raisons physiologiques et scientifiques décrites à travers une enquête de santé publique surprenante... Au coeur des espèces menacées il y a le mâle. Le mâle s'éloigne du patriarcat traditionnel et industriel. La problématique du masculin, sa transformation, peut être son déclin sont abordés sous plusieurs angles : " Hemmes " ou les nouveaux hommes, les nouveaux rapports hommes-femmes, le rapport au travail, la paternité (on est passé de la paternité à la fonction paternelle), la famille, éclatée ou les hommes se retrouvent confrontés à assumer des tâches maternelles, la virilité, et la sexualité (les nouveautés en matière de moeurs sexuelles, de perversion...), l'homosexualité, la transsexualité, l'androgynie... Un pareil changement n'est jamais sans conséquences, les effets miroirs, les " nouveaux enfants, les nouvelles femmes " leurs modifications comportementales. Les jeunes garçons chez lesquels on constate, par exemple, que le sexe et sa pratique occupe beaucoup moins l'esprit des ados que celui des quinquagénaires. L'homme se féminise et contrairement à toute logique, cela l'éloigne encore plus de la femme.
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Enfant roi, enfant sans loi ; apprenons à dire non !
Robustelli Neu Marti
- Res Publica
- 26 Avril 2010
- 9782358100199
Depuis de nombreuses années, on répète que rien ne va plus dans l'éducation des enfants et que tout se "déglingue". cela, dans tous les milieux sociaux :
Parents qui démissionnent, qui ne jouent plus leur rôle.
Parents qui attendent tout de l'école et des enseignants.
Enseignants dépassés et/ou déprimés, qui ne peuvent plus correctement assumer leur rôle d'éducateur. Ce rôle devant être, selon certains, du seul ressort des parents.
Enfants sans repères sociaux, moraux, religieux et sans éthique...
Enfants qui commandent, qui décident et qui font la loi...
Qu'en est-il ? l'adulte aurait-il du mal à se positionner de nos jours ? pourquoi ? faudra-t-il l'obliger à suivre des cours dans une école de parents et instituer un examen ? un permis à points pour éduquer ? etc....
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Les français sont passionnés de musique, mais feignent de l'ignorer et éprouvent parfois une réticence à l'aborder (lors de concerts), à la pratiquer (à travers une formation non rébarbative et adaptée au plus jeune âge) ou même à la placer en tête de leu
