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Le Cours de dessin de Bargue-Gérôme est la réimpression intégrale d'un célèbre cours de dessin de la fin du XIXe siècle. Il se compose d'un ensemble de près de 200 lithographies magistrales, qui étaient autant de sujets destinés à être copiés par des élèves dessinateurs avant que ceux-ci n'abordent le dessin d'après nature.
C'est un ouvrage qui intéressera par conséquent les artistes, les étudiants en art et les historiens de l'art, mais aussi les amateurs et collectionneurs de dessins. Le lecteur y découvrira également l'oeuvre et la vie d'un maître jusqu'à présent négligé, Charles Bargue, dont la biographie est complétée par un catalogue préliminaire de son oeuvre peint, illustré par des reproductions de tout ce qui a pu être retrouvé et même d'un grand nombre de tableaux perdus.
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Tout au long des 264 pages de ce beau livre, Charles Kerivel vous propose une façon originale et personnelle de parcourir le Maroc, de Tanger à Sidi Ifni et d'Essaouira à Merzouga.
Non pas une découverte ponctuée de photographies en couleurs mais, fait sans précédent, une grande promenade où chaque étape est représentée picturalement par nombre d'aquarelles, dessins et croquis aquarellés, repris entre autres de ses nombreux carnets de voyages.
Depuis 1983, date à laquelle il commence à s'intéresser au Maroc, après avoir parcouru une grande partie des pays méditerranéens, il n'a de cesse de rapporter de chacun de ses voyages quantité d'aquarelles, toutes réalisées in situ et accompagnées d'une multitude de croquis de souks et de personnages.
Sa première exposition sur ce thème sera présentée à Douarnenez d'où il est natif. Ses endroits de prédilection seront naturellement Marrakech, avec ses monuments et ses souks, Essaouira, pour la subtilité de ses couleurs, son port qui lui rappelle la Bretagne de façon omniprésente. Mais, sans pour cela négliger les reliefs de l'Atlas et les immenses étendues du Grand Sud, c'est surtout à leurs habitants qu'il s'intéresse. Ainsi, une large partie du livre est consacrée aux Berbères Aït Haddidou qu'il rencontre pour la première fois lors de sa traversée de l'Atlas en 1987.
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Le 1er avril 1970, Salvador Dali choisissait le musée Gustave Moreau à Paris pour annoncer au monde la création de son propre musée dans sa ville natale de Figueras. Cet événement montre l'infl uence posthume du peintre symboliste dans l'histoire du surréalisme à travers ses deux principaux acteurs, Salvador Dali et André Breton, tous deux admirateurs de Moreau, comme en expose les raisons cette étude très documentée.
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Les Emirats arabes unis ; l'avenir en face
Alain Bradfer, Jean-dominique Dallet
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- Les Orientalistes
- 18 Novembre 2010
- 9782867701917
Ce fut un désert dont les dunes s'alanguissaient sur le ressac d'une mer qui fut de tout temps un enjeu du commerce mondial. Il est difficile d'imaginer que ces sept émirats aient une Histoire, au sens des canons occidentaux. Ici, le passé semble avoir été gommé de traits de pelleteuses, noyé dans le béton, rayé d'autoroutes urbaines. Ce qui ne l'empêche de ressurgir à la moindre attention, à la plus modeste des sollicitations. Fier de ce que le monde lui reconnaît, le plus insolent des Émiriens attendrit sa superbe au souvenir de ses pères. Des pères qui, il n'y a guère plus de quarante ans, étaient bédouins, commerçants, chameliers, à peu près tous pêcheurs de perles... C'est ainsi que s'écrit une histoire contemporaine. Vingt siècles de transhumances rudes, de commerce intensif, de concurrence acharnée, de déboires destructeurs et d'imagination salvatrice ont forgé des mentalités qui ont fait de ce désert l'un des endroits les plus riches et les plus convoités du monde. Ce qui paraît être un miracle contemporain n'est jamais que l'aboutissement d'une culture ancienne passée par tous les avatars qui forgent une économie moderne.
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Unique en son genre, l'oeuvre d'Henri Rousseau échappe à toute classification et s'impose, dans sa magnifique solitude à la charnière des XIXe et XXe siècles, comme celle d'un de ces "passants considérables" dont parlait André Breton, ces peintres et poètes qui ont forgé la sensibilité de notre temps. Il est, avec Van Gogh, Gauguin, Monet, Cézanne, l'un des artisans de l'art moderne, un précurseur de la modernité. Mais, contrairement à ces derniers, engagés ensemble dans une bataille théorique pour se faire reconnaître, Rousseau, modeste gabelou prenant sa retraite anticipée pour se donner tout entier à la peinture, reste un solitaire. Tenu dans le plus grand mépris par les institutions et le grand public mais, curieusement, peu à peu fêté par une poignée d'écrivains et de peintres qui reconnaissent son génie propre, la force poétique de son engagement et, derrière la naïveté de la facture, l'expression d'une âme ardente, d'un rêve fou. C'est toute cette ardeur que traduit l'essai de Jean-Jacques Lévêque, qui propose d'aborder l'oeuvre de l'artiste en dépassant le concept réducteur de "peintre naïf", n'hésitant pas à le comparer aux grands pionniers de l'art moderne que sont Cézanne, Gauguin, Van Gogh, Monet, auxquels il a consacré des essais dans la même collection. Multiple et complexe, ambigu et fascinant, tel apparaît le douanier Rousseau dans ce livre.
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Les orientalistes de l'école italienne
Caroline Juler
- Acr
- Pochecouleur
- 17 Septembre 1996
- 9782867700767
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Les orientalistes des ecoles allemande et autrichienne
Haja/Wimmer
- Acr
- 16 Octobre 2000
- 9782867701405
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Les orientalistes de l'école britannique
Ackerman/Gerald M.
- Acr
- Les Orientalistes
- 17 Septembre 1996
- 9782867700491
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Les fibules ; deux mille ans en Afrique du Nord
Marie-rose Rabaté
- Acr
- 14 Novembre 2013
- 9782867702075
Voici un ouvrage unique, consacré à ces parures traditionnelles. Dans la première partie, un rapide regard jeté sur les fibules présentes dans cette région dès l'Antiquité apporte aux curieux d'archéologie des lumières nouvelles. La seconde partie est une plongée dans les patrimoines contemporains de trois pays voisins, la Tunisie, l'Algérie et le Maroc, axée sur l'usage commun de ces bijoux, éléments indispensables du vêtement féminin traditionnel et témoins d'un héritage artistique remarquable. De nombreux portraits de femmes parées émaillent l'ouvrage, et conservent ainsi leur vie à des objets menacés par les nouveaux modes d'habillement. Le lecteur est invité dans la troisième partie à explorer les significations qui ont de tout temps été attachées aux fibules.
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Tapis berbères du Maroc ; la symbolique : origines et signification
Bruno Barbatti
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- 7 Janvier 2016
- 9782867702112
Le langage abstrait et géométrique du tapis berbère est dérivé à l'origine du corps et de la forme et fonction des organes sexuels humains. Il se base sur la dualité ; et la rencontre des deux sexes devient l'expression d'une magie de la fertilité qui, jadis, était universelle et comprenait toute la nature. Création artistique de la femme berbère, son tapis refl ète avant tout les phases de sa vie et l'expérience de sa vie sexuelle : comme vierge, comme nouvelle mariée, l'union avec l'homme, la grossesse et l'enfantement. L'ouvrage ne s'arrête pas à l'interprétation des textiles. L'analyse détaillée des documents et la comparaison avec d'autres domaines des sciences : art rupestre, statuaire, céramique, architecture, linguistique, etc. font que la symbolique en général est concernée.
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Palais Lamrani, Marrakech ; une histoire, une passion...
Collectif
- Acr
- 17 Novembre 2016
- 9782867702129
Une Passion... Notre aventure est née d'une passion commune avec mon épouse, Isabelle, pour le Maroc, pays de mon enfance. De ces belles années passées à Casablanca, j'ai gardé l'amour pour ce pays, ses couleurs, son art, ses traditions, sa culture et son peuple, accueillant et chaleureux. Grâce à l'un de nos amis marocains, nous avons poussé la petite porte de ce Palais-Riad, un des derniers de la médina de Marrakech, situé au coeur du quartier historique de Mouassine. Nous n'imaginions pas le trésor qui s'y cachait. Nous avons immédiatement été éblouis par la magnificence de cette maison et son immense patio à la végétation luxuriante, bordé de hautes colonnes recouvertes de zelliges anciens, véritable marqueterie de terre cuite émaillée.
Nous avons eu un coup de foudre pour ce palais, quelque peu abandonné mais ô combien unique en médina.
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Les orientalistes ; peintres voyageurs
Lynne Thornton
- Acr
- Les Orientalistes
- 16 Mars 2001
- 9782867701382
Avec le développement des transports, les peintres du XIXe siècle succombèrent aux mirages de l'Orient. Ils en ont rapporté des images inondées de soleil, chargées de couleurs et de richesses. Lynne Thornton, expert spécialisé, a étudié près de cent cinquante peintres, de Delacroix à Ziem, parmi lesquels figurent nombre de petits maîtres peu connus.
Les Orientalistes, peintres voyageurs constitue une référence essentielle pour les collectionneurs, en même temps qu'une merveilleuse invitation au voyage.
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Arabesques ; art décoratif au Maroc
Jean-Marc Castera, FranÇoise Peuriot, Philippe Ploquin
- Acr
- 24 Novembre 1998
- 9782867700965
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Couleurs de la corne d'or ; peintres voyageurs à la sublime porte
Frédéric Hitzel
- Acr
- Les Orientalistes
- 16 Octobre 2002
- 9782867701559
De tout temps, les artistes ont voyagé, mettant à profit, consciemment ou non, le conseil de Montaigne : « Le voyage me semble un exercice profitable ; l'âme y a une continuelle excitation à remarquer les choses inconnues et nouvelles ; et je ne sache point meilleure école, comme j'ai dit souvent, à façonner la vie que de lui proposer incessamment la diversité de tant d'autres vies, fantaisies et usures. » (Essais, III, 9). Si, au cours des XVIe et XVIIe siècles peu d'artistes se rendent dans les terres du Grand Turc, l'engouement pour le faste et l'étrangeté de l'Orient n'en est pas moins important. Puis, au XVIIIe siècle, s'impose la vogue des « Turqueries » avant que l'Orient ne s'affiche dans la peinture d'histoire avec la campagne d'Egypte (1798-1801). Au XIXe siècle, ce sont les peintres français et britanniques qui joueront un rôle particulièrement actif dans la découverte de la Turquie de cette époque. C'est ce voyage dans le temps et dans les lieux que propose le présent ouvrage.
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A partir de sable et de cendres mêlés mais aussi d'un feu maîtrisé - le diable n'est pas loin -, ils fabriquent de la lumière que leur souffle modèle en objets précieux.
Depuis la plus haute Antiquité, les verriers sont vénérés comme de véritables alchimistes. L'Ancien Régime ne s'y était pas trompé : alors que le peintre n'était qu'un tâcheron assujetti à une corporation, le musicien un simple domestique, l'homme de théâtre un bateleur excommunié, le verrier, lui, était anobli avec privilèges accordés par le roi. Au mitan du XIXe siècle, "l'énorme production moderne, l'obligation de faire vite et à bon marché, ont donné lieu à un grand nombre de produits industriels dans lesquels l'art fait trop souvent défaut".
Et c'est pourtant dans ce contexte que quelques créateurs vont tout à coup faire d'un banal objet en verre " une oeuvre d'art à l'égal d'une statue, d'un tableau ou d'un joyau". On dit souvent d'Émile Gallé qu'il est l'homme par qui tout serait arrivé, en quelques années, dans la France de la seconde moitié du XIXe siècle, par qui le verre aurait dépassé sa seule qualité d'art utilitaire. Il a certainement été le plus grand inventeur dans le domaine, mais de nombreuses découvertes ou redécouvertes s'accumulaient déjà depuis des années, des idées faisaient leur chemin et d'autres préparaient la voie.
Une révolution n'éclate pas par hasard. Il faut des circonstances scientifiques et industrielles, des convergences économiques et politiques internationales, qui permettent à un créateur de s'épanouir à un instant donné, dans un certain domaine précis, de surprendre le public et d'initier cette révolution qui emporte tout sur son passage - avec le cortège habituel d'imitateurs. Émile Gallé s'est trouvé au bon endroit, au bon moment, avec son génie, porté par une certitude et un sens aigu de la communication.
D'autres ont pris le relais et, un siècle et demi plus tard, le monde vit plus que jamais à l'âge du verre. Le matériau a acquis de nouvelles lettres de noblesse, il n'est plus seulement accessoire, il est environnement total, au point que la puissance de son industrie ferait oublier qu'il est aussi un moyen d'expression artistique largement banalisé.
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Bernard Courcoul relate ici son aventure et définit progressivement sa vision de l'art céramique, une vision fondée sur des valeurs esthétiques qui ne sont jamais séparées d'une éthique humaniste. Au centre du livre, une vingtaine de poèmes donnent à ressentir la résonance intime d'une oeuvre dans son jaillissement, avec en filigrane une poétique de l'engagement et de la passion. En troisième partie, Bernard s'adonne, en toute liberté, dans une démarche analogue à celle de Bernard Palissy dont l'ombre portée sur le livre devient insistante au fil des pages, à un exposé nommé Pratique, fait de récits, de descriptions et de notes d'atelier. Une abondante iconographie conduit les lecteurs dans la confidence de l'histoire et dans un voyage au coeur de la céramique contemporaine.
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Jean-Léon Gérôme ; sa vie, son oeuvre
Gérald m. Ackerman
- Acr
- Pochecouleur
- 25 Septembre 2000
- 9782867701009
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Paris-Bruxelles ; autour de Rodin et de Meunier
Micheline Hanotelle
- Acr
- Pochecouleur
- 25 Septembre 2000
- 9782867701023